• Encore une fois merci au Courrier Picard pour la publication de cet article.

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  • Alcool à l’Assemblée : la virulence des débats sur la retraite et les séances nocturnes ont accentué la tendance. Un député Insoumis aurait été aperçu vomissant dans une poubelle…

    La mythique buvette de l’Assemblée Nationale où seuls les députés ont droit d’accéder

    Rupture de stock de Get 27: c’est ce qu’indiquait, la semaine passée, une pancarte affichée à la buvette des députés. La dive bouteille ferait-elle des ravages jusque dans les travées du Palais-Bourbon ? Le sujet a en tout cas été jugé suffisamment sérieux pour être abordé le 8 février lors de la réunion du bureau de l’Assemblée nationale (…)

     « La buvette, ça va devenir un problème, estime une députée Renaissance. Certains commandent des coupettes dès 11 heures du matin, d’autres sont au rhum à 16 heures… Au début de l’examen du texte, j’ai vu un député se faire ramasser par les serveurs de la buvette tellement il était mal. » Dernière rumeur en date : un député Insoumis, qui dément les faits, aurait même été aperçu par des collègues vomissant dans une poubelle. Et cette élue macroniste de raconter la conclusion des débats sur les retraites, vendredi 17 février dans la nuit : « Dans la buvette et dans les jardins, c’était alcool à gogo jusqu’à 3 heures du matin. Après qu’on a donné ce spectacle pitoyable en séance, ça a bu, dans notre groupe et dans les autres… » (…)

     « Dès qu’il y a suspension de séance, vous allez prendre un verre à la buvette pour relâcher la pression du chaudron. Et ça devient régulier. J’ai vu des gens devenir alcooliques… » Pour beaucoup, cette « pression », intense dans les dernières semaines d’affrontement sur le recul de l’âge légal de départ à la retraite, a pu favoriser certains écarts.

    Le JDD via fdesouche


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  • Selon un biologiste, les psychopathes seraient le sommet de l'évolution .

    Les traits de personnalité typiques de la psychopathie sont considérés comme négatifs. De par le principe de l’évolution, cette personnalité est désavantageuse pour un individu et son incidence devrait donc diminuer avec le temps. Pourtant, force est de constater que les traits psychopathiques persistent au fil des générations. Jonathan Goodman, chercheur en biologie évolutive à l’Université de Cambridge, explique pourquoi cette condition peut finalement être considérée comme un avantage évolutif.

    Une personne psychopathe vit avec un trouble de la personnalité qui se caractérise par un manque d’empathie, de culpabilité et de remords. Il y a également un détachement émotionnel, un comportement immoral et antisocial chronique, une impulsivité, ainsi qu’une nette tendance à la tromperie. Et c’est justement cette dernière faculté, la tromperie, qui permettrait aux psychopathes de disposer d’un certain avantage évolutif par rapport au reste de la population. « Tricher tout en évitant la punition est, du point de vue de l’évolution, toujours la meilleure stratégie qu’une personne puisse avoir », explique Jonathan Goodman dans The Conversation.

    Être psychopathe : faire semblant d’être digne de confiance

    Gagner la confiance de ses semblables a toujours été fondamental dans l’histoire sociale humaine. Seule la confiance permet une bonne coopération entre les individus. C’est ce qui a permis de développer des outils, des villes, puis toutes sortes de technologies, y compris dans des environnements extrêmes. Cela a abouti au monde que nous connaissons aujourd’hui. C’est d’ailleurs cette collaboration qui a permis à l’Homme de dominer le globe plus que toute autre espèce, souligne Goodman.

    Mais plus les groupes sociaux se sont agrandis, moins il était possible de connaître parfaitement chaque individu. Peu à peu, il a fallu accorder sa confiance à des étrangers. Ces derniers pouvaient malheureusement tricher et faire semblant d’être dignes de confiance pour profiter des avantages de la collaboration. « On pense donc que les groupes culturels ont développé des outils puissants, comme la punition. Ils servaient à dissuader la tricherie dans les partenariats coopératifs », explique le chercheur.

    Les psychologues évolutionnistes pensent par ailleurs que les gens ont développé ce que l’on appelle « une capacité de détection des tricheurs ». Les tricheurs étaient ainsi désavantagés. Aujourd’hui encore, au quotidien, nous choisissons d’accorder (ou non) notre confiance sur la base de certains signaux, remarque Goodman. Cela se produit par exemple lorsque nous choisissons un restaurant ou bien lors de n’importe quel achat. Nous choisissons alors implicitement de faire confiance à ce qu’annonce le fabricant ou à ce que déclare le vendeur.


    Les personnes psychopathes sont parfaitement capables de faire semblant.

    Un avantage évolutif plus qu’un trouble mental

    Il s’avère néanmoins que plus la société est complexe, plus il est facile pour les gens de feindre une propension à la coopération, note le chercheur. Encore faut-il être capable de feindre sans jamais révéler son intention véritable. C’est en cela que les psychopathes se démarquent des autres. Ils sont en effet dénués d’empathie et de remords, ils parviennent aisément à gagner la confiance des autres tant qu’elle leur est utile, puis la trahisse dès qu’ils n’en ont plus besoin.

    La psychopathie concerne 1 à 3 % de la population générale et 20 à 30 % de la population carcérale. Le psychologue judiciaire Nathan Brooks a mené une recherche en 2016. Elle a révélé que les traits psychopathiques étaient particulièrement fréquents parmi les personnes occupant des postes importants au sein des entreprises, avec une prévalence comprise entre 3 et 21 % ! Bien que non criminelle, cette psychopathie peut semer le chaos dans une entreprise. Elle impacte énormément les autres employés, expliquaient les auteurs de cette étude. Ce genre de personne peut également se livrer à des pratiques commerciales contraires à l’éthique et illégales.

    Des études ont montré par ailleurs que les psychopathes ont plus de relations que les autres. Cela suggère qu’ils disposent de nombreuses opportunités de reproduction – un critère que l’on sait déterminant pour l’évolution. Par conséquent, comment expliquer que les psychopathes ne soient finalement pas plus nombreux au sein de la population ?

    Être psychopathe : un moyen de prospérer malgré un contexte familial difficile

    « Si tout le monde était psychopathe, nous serions constamment trahis. Nous perdrions alors probablement complètement notre capacité à faire confiance aux autres », explique Goodman. En outre, la psychopathie s’explique moins par la génétique que par la « plasticité phénotypique humaine ». Il s’agit de la capacité innée des gènes à s’exprimer différemment selon les circonstances.

    Ainsi, un enfant qui ne reçoit pas de soins ni d’amour est plus susceptible de « s’éteindre émotionnellement ». C’est une sorte de mécanisme évolutif conçu pour limiter le traumatisme. Cet enfant deviendra probablement un adulte dénué d’émotions et donc, potentiellement un psychopathe. En résumé, s’il existe une prédisposition génétique, un contexte familial difficile favorisera le développement des traits typiques de la psychopathie.

    Du point de vue évolutif, on peut donc voir la psychopathie comme un ensemble de caractéristiques qui permet de prospérer lorsque l’on est face à une situation tragique. « Plutôt que de se concentrer sur le fait d’être bon ou digne de confiance uniquement parce que cela peut aider à avancer, promouvoir ces qualités pour leur propre bien peut aider les personnes ayant des tendances antisociales à bien traiter les autres sans arrière-pensées », conclut le chercheur.

    Cependant, nous sommes dans un monde où les menteurs pathologiques ont tendance à être célébrés et à réussir. Il sera donc sans doute nécessaire de redéfinir le succès en termes d’éthique. Tout ne doit pas être une question de statut social et de richesse.

    Source


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  • Marcel D. en 4-4-2 sur l’affaire Pierre Palmade : « De qui se moque-t-on ? »

    Depuis l’affaire Pierre Palmade, les événements se succèdent et la justice française semble fonctionner à deux vitesses, laissant la sphère des célébrités impunie. 

    Dans ce contexte, j’ai décidé de me pencher sur le cas du chauffard qui a bouleversé la vie de deux familles.

    Du chemsex à Mimi Marchand en passant par la police et la justice, ce tour d’horizon s’imposait.

    Étant donné que la censure sur YouTube a commencé seulement deux minutes après la publication de la vidéo, celle-ci est désormais soumise à une restriction d’âge. Si vous n’avez pas de compte YouTube, vous pouvez regarder la vidéo en suivant les liens ci-dessous vers Odysee et CrowdBunker. Nous vous souhaitons un bon visionnage !

    « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir »

    lemediaen442 


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  • COVID-19 = L’ARNAQUE DU SIECLE Tout ses journaleux et complice d'avoir insulté les non vaccinés devront rendre des comptes . PN 9A..

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    COVID-19 = L’ARNAQUE DU SIECLE : « La gestion de cette crise sanitaire dans le monde a été un échec affligeant…Qu’est-ce que nos dirigeants nous ont fait subir et comment ont-ils pu autant se tromper ? Tout était FAUX…Les preuves commencent à sortir !!! »

    businessbourse 

    En réfléchissant aux trois dernières années de terreur, de tourments et de totalitarisme, un tweet de Justin Hart nous a fait réfléchir.

    Il a posé une question simple et stimulante à propos du COVID : « Est-ce qu' »ils » ont bien compris ce qu’il s’est passé ? »

    Nous devons admettre que nous avons eu du mal à trouver une seule chose correcte « ils » avaient raison, mais voici quelques-unes des pensées de Justin :

    • Transmission de la maladie – faux
    • Propagation asymptomatique – faux
    • Test PCR – faux
    • Taux de mortalité – faux
    • Confinements – faux
    • Déclencheurs communautaires – faux
    • Fermetures d’entreprises – faux
    • Fermetures d’écoles – faux
    • Mettre en quarantaine des personnes en bonne santé – faux
    • Impact sur les jeunes – faux
    • Surcharge hospitalière – faux
    • Barrières en plexiglas – faux
    • Distanciation sociale – faux
    • Diffusion extérieure – faux
    • Masques – faux
    • Impact de variant – faux
    • Immunité naturelle – faux
    • Efficacité du vaccin – faux
    • Blessure causée par le vaccin – faux

    Mais franchement, qu’est-ce qui était vrai alors ?

    Comme Hart le dit si éloquemment et succinctement : « Pour répéter. Ils ont eu TOUT Faux ! »

    Ce qui est intéressant car au moment où nous écrivions cet article, l’homme le plus riche du monde – ayant accès à toutes les communications écrasantes de « dissidence » – a répondu à une question opportune…

    Dans sa sous-stack « Rational Ground », Hart expose son point de vue sur ce qui s’est réellement passé avec COVID…

    Chaque année, les humains subissent une « saison grippale » – une période indiquant le point culminant de la vague de pathogènes viraux respiratoires de cette année-là.

    Croyez-le ou non, nous avons encore des souches de la grippe russe de 1889, de la grippe espagnole de 1918, de la grippe asiatique de 1957, de la grippe de Hong Kong de 1968, du virus H1N1 de 2009 – toutes ces diverses souches d’insectes méchants surgissent chaque année.

    Fin 2019, un nouvel agent pathogène « nouveau » est apparu sur la scène – un bogue de la famille des « coronavirus » (« corona » décrivant la structure en forme de pointe des particules.)

    Le titre officiel était SARS-CoV-2. SRAS = « syndrome respiratoire aigu sévère » ; CoV-2 = « Coronavirus 2 ». Ce virus particulier peut provoquer une maladie appelée COVID-19 (« Coronavirus Disease 2019 »). On pense que la maladie est originaire de Chine et a trouvé une transmission interhumaine importante. On pense qu’il s’agit d’une « nouvelle maladie » car les infections antérieures d’autres agents pathogènes ne semblent pas créer d’anticorps pour lutter contre cette nouvelle maladie dans le corps humain.

    Les responsables ont sonné l’alarme sur la mortalité potentielle due au COVID-19. Les gouvernements du monde entier se sont empressés d’aborder et de protéger leurs populations contre ce qui est rapidement devenu une pandémie.

    Les efforts allaient de stricts à carrément autoritaires. Les résultats ont été pour le moins mitigés. Début 2022, on pensait que le SRAS-Cov-2 et le COVID-19 rejoindraient la panoplie de virus et de maladies que nous connaissons au cours du flux et reflux annuel de la vie.

    C’est la version courte et stérile de ce qui s’est passé.

    Voici ce qui s’est réellement passé :

    • Les élites mondiales avaient intensifié leurs efforts pour remodeler le monde afin de remédier à une multitude d’inégalités et d’imaginer des croque-mitaines comme le changement climatique.
    • Ces élites mondiaux ont été renforcées par une foule d’institutions corrompues, dont l’OMS (« Organisation mondiale de la santé »), de grandes sociétés pharmaceutiques et des acteurs mondiaux de la richesse et de la santé comme Bill Gates.
    • Avec l’émergence d’un nouveau virus, ces groupes se sont précipités au moment vulnérable pour mettre leurs plans en action et rééquiper le monde avec une foule de propositions – c’était connu sous le nom de « The Great Reset ». La réponse au coronavirus n’était que le premier acte de ce projet.
    • Les gouvernements du monde entier, sous la menace d’une mortalité grave (réelle ou imaginaire), ont cédé au plan d’action qui utilisait des restrictions jamais imaginées auparavant sur les droits individuels, des dépenses financières massives et des révisions renforcées de l’autorité pour préparer le terrain pour un changement du pouvoir.
    • La liberté d’expression, le droit de réunion, le droit à l’autonomie corporelle, les gouvernements représentatifs sont tous tombés quelques mois après l’annonce des premiers cas de COVID-19 dans presque tous les pays.

    Source: zerohedge


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