• LES CONSPIRATEURS – Le ZAPPING des Frères la Truelle .

    (le tribunal maçonnique en PLS)


    26 juillet 2023 profession-gendarme 

    Quelques vérités qu’ils n’aiment pas entendre !

    « N’ayez pas peur de la Liberté, car si vous en avez peur, elle se détournera de vous. Aimez la et chérissez la » — Ronald Guillaumont

     Alexandre Lebreton

    5 sept. 2019 #Mafia#République#FrancMaçonnerie Franc-Maçonnerie & Schizophrénie – Dr Jekyll & Mr Hyde : http://mk-polis2.eklablog.com/franc-m… Qui sont les véritables complotistes ? Qui complote vraiment ? Ceux qui dénoncent les magouilles ou ceux qui les organisent ? ZOOM sur les Comploteurs, ceux que l’on nomme les Frères la Truelle, les francs-maçons…

    Source : Youtube


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  • Agression par deux bons Français" Mattéo et Kévin"

    La jeune victime aurait été poignardée en pleine rue samedi 22 juillet à La Haye-Malherbe pour un simple «mauvais regard». Un adolescent a été mis en examen pour «homicide volontaire».

    Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime marchait dans le bourg de cette commune d'environ 1500 habitants, située à l'ouest de Louviers, entre Évreux et Rouen, samedi peu avant 19 heures. Un simple «mauvais regard» échangé entre la victime et «deux jeunes eurois» à bord d'une voiturette sans permis, «n'ayant aucun antécédent ni au civil ni au pénal», serait à l'origine du coup mortel, a-t-on indiqué de même source.

    Une marche blanche se tiendra mercredi 26 juillet à 17h30 devant l'église du village.


    Par :actu17.fr 
     
    Enzo, 15 ans, tué pour un «mauvais regard» dans l'Eure : un mineur mis en examen pour homicide volontaire 
    48 heures après le meurtre d'Enzo, 15 ans, dans le petit village de La Haye-Malherbe (Eure), un adolescent du même âge a été mis en examen pour "homicide volontaire". Un second mineur est lui aussi poursuivi par la justice. Un "mauvais regard" serait à l'origine de ce coup de couteau mortel.

    Un adolescent de 15 ans a été mis en examen pour "homicide volontaire" ce lundi, après le meurtre d'un jeune du même âge à La Haye-Malherbe (Eure) samedi dernier. C'est ce que Sandrine Ballanger, la procureure de la République adjointe d’Évreux, a annoncé, confirmant une information de Paris Normandie.

    Le drame s'est produit dans ce petit village de 1500 habitants, situé entre Évreux et Rouen. Selon les premiers éléments de l'enquête, un "mauvais regard" entre la victime et deux jeunes de son âge, serait au départ des faits. Les deux adolescents, à bord d'une voiturette sans permis, étaient connus pour n'avoir aucun antécédent judiciaire.

    La victime, Enzo P., a reçu un coup de couteau au thorax. Malgré l'intervention rapide des secours, le jeune homme n'a pas survécu à ses blessures. L'émotion est palpable dans cette petite commune. L'un de ses amis a témoigné à TF1 info : "Ça a toujours été un ami très proche. Il a toujours été là pour nous, il s'est toujours débrouillé. C'était quelqu'un vraiment d'exceptionnel. Et puis il est parti beaucoup trop tôt. Ça aurait jamais dû arriver, surtout à lui".

    Au moment il a été grièvement blessé, Enzo a réussi à rejoindre la caserne des pompiers située à 100 mètres. Serge Marais, le maire de La Haye-Malherbe, a raconté à la chaîne d'informations : "Enzo est tombé, et c'est là que la mère de famille et son copain et l'autre monsieur ont tout fait pour le réanimer afin de le garder en vie".
    Le parquet a requis son placement en détention provisoire

    Le second suspect, également mineur, qui était en compagnie de l'auteur présumé, est poursuivi pour "violences délictuelles et non-assistance à personne en danger". Le parquet a requis un placement sous contrôle judiciaire le concernant, tandis qu'il a réclamé un placement en détention provisoire pour le tueur présumé.

    En mémoire d'Enzo, une marche blanche est prévue ce mercredi. L'enquête, confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Louviers et à la section de recherches de Rouen, se poursuit pour faire toute la lumière sur cette affaire qui a plongé la petite commune de La Haye-Malherbe dans le deuil et l'incompréhension.

    Une cagnotte en ligne a été lancée sur la plateforme Leetchi pour soutenir la famille d'Enzo, notamment pour les frais d'obsèques et d'avocat. Près de 19 000 euros ont déjà été récoltés. La collecte est accessible ici.

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  • Emmaüs : une association pro-migrants aux frais du contribuable.

    D’Emmaüs, association de solidarité créée par l’abbé Pierre en 1954, on connaît la vitrine : charité, accueil du prochain, souci du miséreux et mise à l’abri des plus pauvres. Une mission louable et utile dans une société où les plus fragiles sont très souvent mis de côté et oubliés. Seulement, dans l’arrière-boutique, derrière cette « insurrection de bonté » promise par les membres de l’association se cachent une idéologie pro-migrants et des méthodes douteuses. Le tout financé par la générosité du contribuable.

    Un accueil inconditionnel des migrants

    « Emmaüs, y’en a marre, l’esclavage, c’est fini. » Depuis plusieurs semaines, aux abords des locaux d’Emmaüs à Saint-André-lez-Lille (Nord), des dizaines de sans-papiers soutenus par des députés de la NUPES et d’autres figures de l’extrême gauche sont en grève. Ils accusent l’antenne locale de l’association de leur avoir imposé des conditions de travail intenables et une pression psychologique. Ils reprochent également à la direction de ne pas avoir tenu ses promesses. Auprès du Parisien, ils confient ainsi « que la direction leur a menti en leur faisant miroiter une régularisation au bout de trois ans d’activité » en échange d’un maigre salaire. Alors qu’Emmaüs dément, le parquet de Lille a décidé, au mois de mai dernier, d’ouvrir une enquête préliminaire pour « traite d’êtres humains » et « travail dissimulé ». Ce présumé système d’exploitation totalement indigne laisse apparaître l’une des facettes de l’association qui profite et plaide pour un accueil inconditionnel de tous les exilés.

    Car si Emmaüs aide, il est vrai, les sans-abri lors des froides périodes hivernales et travaille à leur réinsertion, l’association de l’abbé Pierre participe également à l’accueil de tous les migrants, même les clandestins. La structure qui, rappelons-le, a appelé à voter contre Marine Le Pen en 2022 est ainsi une farouche opposante des lois de contrôle de l'immigration qu’elle considère mener à « une détérioration des conditions d’accueil et des droits des personnes exilées ». Ces dernières années, Emmaüs s’est ainsi plusieurs fois engagée contre l’État pour défendre les clandestins comme à Briançon, où elle défend les migrants qui tentent de franchir la frontière franco-italienne. Preuve de ce penchant idéologique en faveur d’une immigration incontrôlée, dans les Alpes-Maritimes, Emmaüs s’est associée à Cédric Herrou, figure médiatique connue pour avoir aidé des migrants à franchir la frontière entre la France et l’Italie, afin de créer une communauté dans la vallée de la Roya. Par ailleurs, dans ses diverses communautés, éparpillées aux quatre coins de la France, Emmaüs recrute – et donc empêche l’expulsion - de nombreux clandestins.

    70 millions d’euros de subventions

    Résultat : Emmaüs Solidarité se retrouve davantage accaparée par les migrants que par les Français dans le besoin. Selon son rapport d’activité, en 2021, l’association consacrait ainsi 79 % de ses places en centres d’hébergement à des personnes issues de pays hors de l’Union européenne et seulement 14 % à des Français. Et ce, alors que l’association de l’abbé Pierre peut compter sur la générosité de l’État français pour mener à bien ses missions. Reconnue d’utilité publique, elle bénéficie tout d’abord d’une défiscalisation des dons intéressante (75 %). D’autre part, chaque année, elle perçoit de nombreuses subventions. En 2021, Emmaüs a reçu près de 70 millions d’euros de subventions, État et toutes collectivités confondus. Un chiffre en constante augmentation depuis plusieurs années. Emmaüs se classe ainsi parmi les associations les plus subventionnées par l'État, selon l'association Contribuables associés.

    Clémence de Longraye

    Source : http://bvoltaire.fr


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    Fanny Anor, ici à gauche de cette photo, sera donc la directrice de cabinet de Gabriel Attal.
    Elle grenouille au ministère depuis des années, et elle travaille avec Attal depuis un moment. Mais elle n'a pas commencé avec lui. Comprenez qui elle est et vous comprendrez pourquoi l'école est tant malmenée en France. Gabriel Attal n'est qu'un visage. Les réformes de l'éducation menées par Macron ont été largement pensées par Laurent Bigorgne, à droite de cette photo. Condamné pour avoir drogué sa belle-sœur "en vue de commettre un viol ou une agression sexuelle" par le tribunal correctionnel de Paris, Bigorgne (qui a fait appel) était en 2017 le plus important soutien d'Emmanuel Macron lors de la fondation de son mouvement, allant jusqu'à héberger le siège d'"En Marche" dans un logement appartenant à son épouse. Bigorgne et Anor collaboraient à l'Institut Montaigne. Anor, c'est Bigorgne sans le casier judiciaire. Mais ce sont les mêmes idées : épuiser les enseignants, les mettre au pas en les contractualisant, supprimer le baccalauréat, vassaliser les établissements en renforçant l'arbitraire du management intermédiaire, etc.
    Fondamentalement, ils ne savent pas de quoi ils parlent, ce sont des préjugés du PMU formulés de façon pédante. C'est la rencontre du mépris populaire avec le snobisme bourgeois. Je vous invite à regarder par vous-mêmes la biographie de Bigorgne, celle de Olivier Duhamel et celle de Nadia Marik-Descoings. Tous collaborateurs de longue date. Il y a des fois où l'histoire personnelle devrait disqualifier de gérer certains sujets. Est-ce vraiment le genre de réseaux auquel vous voulez confier les arbitrages nécessaires à l'avenir de vos enfants ? Les harceleurs et les violents à la tête d'une institution qui doit défendre la paix et le savoir. Voilà qui est bien cohérent avec des réformes contraires à l'intérêt général.

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