• Marie-France Stirbois
     
    Photo de Patrick Guateri.
    Une grande patriote et une grande dame pour celle et ceux qui l'on connu.

    Marie-France Charles est née le 11 novembre 1944 à Paris.

    Le premier engagement politique de la jeune Marie-France remonte à la guerre d’Algérie, pour s’opposer à l’indépendance de ces départements français. En 1964, elle milite dans les comités Tixier-Vignancour, candidat à l’élection présidentielle de 1965. C’est à cette époque qu’elle a fait la connaissance de son futur mari, Jean-Pierre Stirbois. Elle se rapproche alors d’Occident.

    Lors des événements de mai 1968, elle est étudiante à Nanterre, où, responsable de la Fédération nationale des étudiants de France (FNEF), elle manifeste contre les grévistes.

    Titulaire d’un Capes d’anglais, elle se marie l’année suivante et enseigne l’anglais pendant sept ans au lycée de Colombes.

    Comme son époux, elle milite d’abord dans la mouvance « solidariste » au Mouvement jeune révolution, qui rejette le totalitarisme marxiste et le capitalisme international.

    Marie-France Stirbois fait ses premières armes pour les élections législatives de 1978 à Paris. Elle remporte un premier succès électoral lors des cantonales de 1982 avec un score de 10 %, puis se présente à Nanterre, dans les Hauts-de-Seine, en 1985. Sa première candidature nationale à Dreux remonte aux législatives de 1986 alors que trois ans plus tôt, Jean-Pierre Stirbois est devenu l’un des adjoints FN au maire RPR de la ville, Jean Hieaux, à la suite de l’ alliance électorale.

    Lors des élections régionales de 1986, comme son mari, elle est élue au conseil régional de la région Centre.

    Après le décès de son mari Jean-Pierre Stirbois le 5 novembre 1988, elle prend sa succession dans l’engagement local et incarne le Front national à Dreux, d’abord comme conseillère municipale, puis comme tête de liste lors des élections municipales de mars 1989 ou elle est réélue conseillère municipale.

    Dans la deuxième circonscription d’Eure-et-Loir, la démission le 2 octobre 1989 du député RPR Martial Taugourdeau qui vient d’être élu sénateur, provoque une élection partielle. Celle-ci a lieu les 26 novembre et 3 décembre 1989. Marie-France Stirbois recueille 42,5 % des voix au premier tour et 61,3 % des voix au secondface au candidat RPR Michel Lethuillier. Elle est députée et la seule élue frontiste à siéger à l’Assemblée nationale durant la IXe législature. Cette victoire est le résultat d’un long et intense travail d’implantation locale.

    Elle conserve son mandat de députée jusqu’aux élections législatives suivantes de mars 1993 où elle perd de très peu face au candidat RPR Gérard Hamel avec 49,87 % au second tour.

    En 1990, elle fait son entrée au bureau politique du Front national.

    En mars 1994, elle est élue conseillère générale dans le canton de Dreux-Ouest, poste qu’elle occupera jusqu’à la fin de son mandat en 2001. En juin

    1994, elle est élue députée européenne sur la liste du Front national sur laquelle elle était placée en sixième position. Elle démissionne peu après de son mandat de conseillère régionale du Centre, et siège au Parlement européen jusqu’aux élections européennes de 1999.

    Restée fidèle au Président Le Pen dans la tourmente qui suivit la scission de 1998, elle quitta l’Eure-et-Loir en 1999 pour Nice où elle mène avec Gérard de Gubernatis la liste FN aux municipales en mars 2001, obtenant plus de 14 % au second tour face au transfuge Jacques Peyrat.

    En 1999, elle est nommée, au sein du Front national, déléguée nationale aux actions catégorielles. En 2003, elle reprend pendant un an le siège de Jean-Marie Le Pen après la déchéance de son mandat de député européen à la suite de sa condamnation à un an d’inéligibilité.

    En 2004, elle est élue conseillère régionale de Provence-Alpes-Côte d’Azur. La même année, Jean-Marie Le Pen l’écarte de la deuxième place éligible sur la liste FN aux élections européennes dans la circonscription Sud-Est, au profit de Lydia Schénardi. Il lui propose la deuxième place sur la liste FN dans la circonscription Sud-Ouest ce qu’elle refuse, préférant la dernière position, la « place d’honneur ».

    En 2004, Marie-France Stirbois critique la stratégie et les orientations du Front National, ce qui a entraîné sa suspension pendant quelques mois du Bureau politique en octobre de cette même année. Commentant cette décision, elle déclare: « J’observe qu’une coterie formée de quelques personnes exerce une influence néfaste sur Jean-Marie Le Pen. C’est une sorte d’État lilliputien. Ils ont réussi à le déconnecter de ses vrais amis et du mouvement. Depuis, il n’y a plus de débat au bureau politique. Les décisions sont prises ailleurs. »

    Marie-France Stirbois affirme qu’elle ne voterait pas pour Marine Le Pen si celle-ci est la candidate du Front national à l’élection présidentielle de 2007.

    Elle décède à Nice, le 17 avril 2006, après plusieurs mois de lutte contre le cancer.

     
     

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  • François hollande ..

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    Sur les Ordures il pousse toujours des champignons,et la France depuis Hollande à la présidence,viens de dépasser la date de péremption.

    L’hebdomadaire Marianne a révélé ceci: !!… Ce Président est un vrai Voyou..!! Charles de Gaulle avait offert sa retraite de président à la “Fondation de France”ne conservant que celle de Général de … Brigade (grade le plus bas dans la hiérarchie/généraux)…..les successeurs ne sont pas aussi désintéressés et patriotes, ils sont là surtout pour leur intérêt personnel !… 

    Selon les révélations de l’hebdomadaire ” Marianne ” , l’ ‘ actuel chef de l’’État utilise une astuce illégale pour s’assurer une retraite dorée. Montant brut estimé une fois à la retraite: 35 700 € par mois, sur le dos des contribuables.

    Explications : Le Haut Fonctionnaire Hollande travaille toujours officiellement pour la Cour des Comptes…

    Ce sont des révélations pour le moins étonnantes que publie l’hebdomadaire Marianne . Le haut fonctionnaire François Hollande, qui a travaillé pour la Cour des comptes, ne s’est pas mis en indisponibilité mais…en détachement, pour exercer ses fonctions politiques.

    Ce petit détail peut paraître anodin. Simplement, en restant en détachement, François Hollande continue à faire tourner son compteur retraite.

    Selon les calculs de Marianne , sa retraite atteindra…35 700 € par mois. La loi interdit pourtant de faire ce qu’a fait Hollande. Comble de l ‘ironie, François Hollande est en illégalité avec ses propres lois.

    Le président qui a prôné la transparence devrait savoir, comme le rappelle Marianne, que depuis la loi sur la transparence de la vie politique, les fonctionnaires et membres du gouvernement doivent se mettre non pas en détachement mais en disponibilité de leurs précédentes fonctions pour exercer des responsabilités gouvernementales.

    Pour être ministre, Fleur Pellerin et Emmanuel Macron l’ont fait. C’est la loi. Une loi a laquelle a dérogé… le chef de l ‘ Etat lui-même.

    La Cour des comptes explique à Marianne que la situation du président ‘ ”n’est expressément prévue par aucun texte. C’est donc le droit commun qui s’applique” .
    Déclarations surprenantes, surtout lorsqu’on se souvient qu’en juin 2013, le ministre chargé des Relations avec le Parlement Alain Vidalies, aujourd’hui aux Transports, avait assuré que François

    Hollande ” se mettra en disponibilité’ . Un “oubli”, sans doute…

    Malgré son absentéisme à la Cour des comptes, François Hollande profite du système. L’hebdomadaire rappelle la ” fréquentation très épisodique” de François Hollande à la Cour des comptes : ”3 ans en début de carrière, en 1980, quelques mois en 1993” .
    Cependant, Marianne continue dans les révélations et assure que Hollande a toujours été présenté comme détaché , lorsqu’il était élu.

    Résultat ? François Hollande “ a d’ores et déjà accumulé 32 ans de droits. Avec la majoration de 20 % pour ses 4 enfants, notre président magistrat s’assure une petite pelote de près de 5 000 € brut par mois, que chaque trimestre supplémentaire placé en détachement fait grossir” . Une somme à laquelle il faut ajouter les indemnités liées à ses mandats.

    Et Marianne fait les calculs :
    – pour ses fonctions locales, il est déjà assuré de toucher 6 000 € par mois .
    – 20 ans comme député et 5 mois comme eurodéputé ouvrent droit à 6800 € supplémentaires.
    – Un peu de gratte comme prof à Sciences-Po, mettons 300 €. Et ce n’est pas fini :
    – le bonus “président de la République” lui vaudra encore 6 000 € de retraite.
    – et son statut de membre de droit du Conseil constitutionnel, 12000 € .

    La retraite dorée de François Hollande ? Plus de 35 000 € par mois, avec l’ argent de l’Etat.
    Pas sûr que les Français apprécient. Bravo à l’hebdomadaire Marianne pour avoir révélé ce scandale.

    “Je serai irréprochable” nous avait pourtant dit Hollande !

    PS: Merci a notre Lecteur « anonyme » pour son article!


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  •  Lille: une jeune femme égorgée dans le métro à titre gratuit ..

     

    Il était environ 16H00, jeudi après-midi, lorsque la rame s'est arrêtée à la station de métro Lille-Flandres.

    À l’intérieur, une jeune femme, âgée d'une vingtaine d'années, s’apprêtait à se lever lorsque le jeune homme, qui était assis à côté d'elle, a sorti un couteau et l'a poignardé à la gorge.

    Il s'agit d'un acte totalement gratuit car la victime ne connaissait pas son agresseur et ne se sont pas parlés durant le trajet.

    La jeune femme ensanglantée a quitté le métro en hurlant et en courant avant de perdre connaissance à la sortie d’un escalator.

    Elle a été prise en charge par des usagers, dont l'un lui a pratiqué les premiers secours avant l'arrivée des pompiers. La victime a été hospitalisée mais ses jours ne sont plus en danger.

    Grâce au visionnage de la vidéosurveillance, le suspect a rapidement été identifié. Ce jeune homme, âgé d'une vingtaine d'années, a été interpellé à la sortie d'un centre commercial alors qu'il venait d'acheter... une peluche.

    Il est déjà bien connu des services de police.

    http://www.nordeclair.fr/info-locale/lille-une-femme-blessee-a-la-gorge-par-arme-blanche-jna49b0n1097665


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  • Une photo de Bouteflika diffusée par Valls choque en Algérie

    Les médias algériens s'indignent de plusieurs clichés, dont une photo diffusée par le Premier ministre français lors de sa visite à Alger, montrant le président algérien affaibli.

    © Fournis par BFMNews

    Décidément, la visite de Manuel Valls la semaine dernière en Algérie aura été émaillée de polémiques... Des deux côtés de la Méditerranée. Alors que côté français, le refus d'Alger d'accorder des visas à des journalistes du Monde et du Petit Journal de Canal + a déclenché une polémique et décidé plusieurs médias hexagonaux à boycotter le voyage officiel du Premier ministre français, en Algérie, c'est une photo, en particulier diffusée  par le locataire de Matignon, qui provoque l'émoi des médias, comme le rapporte le blog Géopolis de Francetv info.

    Le cliché, disponible au téléchargement entre autres sur le site de l'Agence France Presse, a notamment été posté dimanche dernier par Manuel Valls sur son compte Twitter. On y voit le chef du gouvernement français assis auprès d'Abdelaziz Bouteflika dans la résidence d'Etat de Zéralda (une banlieue de la capitale), qui sert désormais de bureau au président algérien. "Échanges économiques, humains et sécurité: la relation franco-algérienne est forte, historique et stratégique", commente le tweete.  

    Une photo de Bouteflika diffusée par Valls choque en Algérie

    Affaibli, le regard hagard

    Si l'image montre un Manuel Valls esquissant un sourire, le chef d'Etat algérien, malade, apparaît lui le regard hagard et la bouche entrouverte, comme sur les autres photos des deux hommes prises ce jour-là par l'AFP. 

    De quoi provoquer la colère de médias algériens s'indignant de voir leur leader en si mauvaise posture. "Mais quel est l'Algérien qui accepterait de voir son président (...) montré au monde entier dans un état de santé aussi lamentable, aussi affaibli, aussi diminué, aussi pitoyable, que celui dans lequel le monde entier l'a découvert à travers ces images et vidéos qui ne cessent de tourner et de "retourner", gouverner encore et toujours?", interrogent Le Matin D'Algérie, avant de lancer: "Il est manifeste qu'il est dans l'incapacité de prendre la moindre décision, ni encore moins de gérer tout un pays."

    "Diffusée au soir de l’audience avec le Premier ministre français, Manuel Valls, la séquence montrant Bouteflika dans un état insoutenable a plombé le moral national", abonde El Watan. "Le désarroi a même gagné des niveaux supérieurs dans le pouvoir", relate le quotidien.

    Une photo de Bouteflika diffusée par Valls choque en Algérie

    "Et le droit du malade au respect de sa dignité?"

    "Et le droit du malade au respect de sa dignité?", titre de son côté Liberté Algérie. "Le traumatisme national provoqué par les images pathétiques du président Bouteflika (...) est suffisamment commenté pour ne pas remuer davantage le couteau dans la plaie des Algériens outrancièrement choqués. C’est une inqualifiable forfaiture, dont sont comptables ceux qui sont en charge de l’image du chef de l’État. Il s’agit, en l’occurrence du droit du malade au respect de sa dignité et de son intimité."

    Âgé de 79 ans, Abdelaziz Bouteflika a été victime d'un AVC en 2013, qui a affaibli sa mobilité et sa faculté d'élocution. Il a depuis été hospitalisé à plusieurs reprises. Ses apparitions officielles sont désormais très rares, et interviennent surtout lors de visites de chefs d'Etat ou de gouvernements étrangers. Une absence de la scène médiatique qui alimente les doutes, formulés par plusieurs personnalités et partis politiques, sur ses capacités à continuer à diriger le pays.

    http://www.msn.com


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  • Anne Hidalgo prophétise la défaite de la gauche en 2017 et charge Hollande

     
    Anne Hidalgo estime que la gauche perdra l'élection présidentielle de 2017. © SIPA
    Elections présidentielles. Anne Hidalgo a dressé un bilan très négatif du quinquennat de François Hollande, qui a "tourné le dos à ses engagements", le rendant responsable de la défaite qu'elle pense voir se dessiner en 2017.
      
    Anne Hidalgo n’épargne pas François Hollande.
    Dans une interview à l’hebdomadaire VSD, la maire de Paris prophétise la défaite de la gauche aux présidentielles de 2017 : «Sauf miracle, il y aura une alternance».
    La cause ?
    « On ne peut pas dire qu'on a démontré une grande efficacité dans les réalisations et on a un peu tourné le dos aux engagements».
    De fait, l’ancienne adjointe de Bertrand Delanoë est plus proche de la gauche du PS, les « frondeurs », que de la ligne du gouvernement.
    Elle fusille aussi Manuel Valls, dont l’équipe s’est montrée « [conservatrice] sur les questions de société et [ultralibérale] sur les questions économiques».
    Ces critiques ne sont pas anodines.
    François Hollande est en pleine tempête, menacé par le Parti socialiste de se soumettre à une primaire et confronté à l’opposition des syndicats et des étudiants sur le projet de loi travail.
     Son intervention dans l’émission « Dialogues citoyens » jeudi soir n’inversera pas la spirale négative dans laquelle est embourbé le président. 

    Dans ce contexte, les soutiens d’Anne Hidalgo estiment qu’il y a une carte à jouer au moment de la primaire.
     Leur championne n’est pas éclaboussée par l’échec de la gauche au pouvoir depuis 2012.
     Mieux, elle représente l’une des rares victoires importantes à l’échelle locale depuis le retour des socialistes aux affaires, grâce à sa victoire aux municipales de Paris en 2014.
    Mais au grand désarroi de ses fidèles, l’élue balaie pour l’instant d’un revers de la main les rumeurs qui lui prêtent une ambition présidentielle à court ou moyen terme : «C'est un mandat de 2014 à 2020 pour lequel j'ai été élue et j'honorerai ce mandat sans aller m'égayer ailleurs. Cette ville me passionne, est magnifique et les Parisiens sont exigeants».

    C’est donc non pour 2017, mais aussi pour 2022 : «Je ne sais pas ce que je ferai, on verra. J'adorerais m'occuper d'une grande organisation internationale ou me mettre au service d'une grande ONG».
     C'est en tout cas sa position officielle pour le moment.
    La mairie de Paris est un bon tremplin vers des postes plus importants.
    Avant Hidalgo, Jacques Chirac avait déjà posé ses valises à l'hôtel de ville, avant de devenir Premier ministre, puis président de la République.

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