• Après son livre polémique, le général Soubelet placé «hors cadre» et remplacé

    Jean-Marc Ducos  

    Le général Bertrand Soubelet commandant de la gendarmerie de l'outre-mer jusqu'à son limogeage imminent. Le général Bertrand Soubelet commandant de la gendarmerie de l'outre-mer jusqu'à son limogeage imminent. DR Jean-Marc Ducos

    Exclusif

    Son sort est scellé et son successeur déjà connu. Le général de corps d'armée Bertrand Soubelet, officier de gendarmerie, devrait être «placé en position hors cadre en attente d'une affectation temporaire» selon nos informations. Une condamnation à la mort lente pour ce général qui se retrouve privé de son commandement après avoir choisi de publier un livre alors qu'il est encore en activité. Intitulé « Tout ce qu'il ne faut pas dire : Insécurité, justice, un général de gendarmerie ose la vérité » ( Plon), cet essai polémique rencontre un vif succès en librairie. Un pied de nez au devoir de réserve. Mais ce général, un pur Basque au caractère bien trempé, «assume». Le général Soubelet sanctionné sera remplacé, par décret du président de la République, au commandement de la gendarmerie de l'outre-mer par le général de brigade Lucas Lambert, en poste en Guyane et qui prendra dans quelques mois pour l'occasion une étoile de plus sur son képi. La parution au Journal officiel est déjà prévue pour ce week-end. En juillet 2014, Bertrand Soubelet avait déjà été dépossédé du poste très envié de directeur des opérations et l'emploi après une audition en décembre 2013 à l'Assemblée nationale consacrée aux moyens de lutte contre l'insécurité au cours de laquelle il avait critiqué la facile remise en liberté des délinquants mineurs.

     


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  • Viol collectif à Ostende: "Les femmes doivent obéir", déclare l'un des auteurs des faits.

    Viol collectif à Ostende:

    Après avoir commis un viol collectif, certains auteurs minimisent les faits. L'un d'eux déclare même que la victime ne devrait pas se plaindre, car "les femmes doivent obéir aux hommes". Pour Johan Vande Lanotte, le bourgmestre socialiste de la ville d'Ostende, il s'agit de défendre nos valeurs: "Certains nouveaux arrivants ont une image de la femme qui est problématique."

    L'affaire s'est déroulée en novembre dernier. Mais elle a été révélée par hasard la semaine passée. Un professeur de l'institut technique d'Ostende avait attiré l'attention de la police sur un élève qui s'était fait remarquer avec une photo de lui portant un uniforme militaire et une mitraillette. Lors de l'enquête, les autorités ont découvert une vidéo sordide sur son téléphone portable: accompagné de six autres garçons, on le voit abuser d'une fille apparemment inconsciente. Les auteurs de ce viol collectif rient, dansent et chantent en arabe, précise Het Laatste News.

    Plus tôt dans la soirée, la jeune fille de 17 ans était allée boire un verre avec ses copines, avant d'atterrir à une fête à Ostende où, d'après certains témoignages, elle aurait consommé de l'alcool au point de finir inconsciente. Où a-t-elle ensuite été emmenée? Ceci n'est pas encore clair. On sait cependant qu'elle est rentrée chez elle en taxi.

    Des auditions qui choquent

    Parmi les auteurs des faits, deux jeunes sont de nationalité belge. Cinq autres seraient Irakiens, et au moins deux d'entre eux connaîtraient une procédure de demande d'asile. Ils ont entre 14 et 25 ans. Seul le plus âgé nie le viol, tandis que les six autres reconnaissent qu'ils ont tous eu des rapports sexuels avec la jeune fille. Lors de leur interrogatoire, ils étaient très désagréables, considérant parfois, comme le précise à nouveau Het Laatste News, qu'un viol collectif était une chose tout à fait normale par ailleurs dans le monde. L'un d'eux affirme aussi que "la jeune fille a demandé de l'emmener" - alors que les images montrent clairement qu'elle n'était plus maîtresse de sa volonté.

    Selon l'un des auteurs de faits, elle ne devrait de toute façon pas se plaindre, "parce que les femmes ontseulement besoin d'écouter les hommes".

    Le bourgmestre d'Ostende a, pour sa part, appelé à des sanctions très dures, "dans cette affaire douloureuse".

    http://www.lalibre.be/


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  • Quand la France passe la Nuit Debout, François Hollande pose avec la «Nounou d'enfer» ! 
       

     
    Source: Reuters

    Quelle star ce François Hollande ! Le voilà maintenant qu’il dîne avec les vedettes du showbiz américain, et en l’occurrence, pas avec n’importe laquelle.

     Le cliché du mois, c’est Hollande en compagnie de la Nounou d’enfer.

    On l’a tous regardé, elle nous a tous fait rire, et on a tous été déçus quand la série «Une nounou d’enfer» s’est arrêtée.
     Et puis, nous nous sommes tous demandés, mais qu'est-ce qu'est devenue Miss Fine ?

    Et bien, la revoilà aux côtés de François Hollande. «Ooh la la !»

    Quand la France passe la Nuit Debout, François Hollande pose avec la «Nounou d'enfer» ! (PHOTO)

     La photo a été publiée par l’actrice elle-même sur son compte Twitter dans la nuit de samedi à dimanche à 00h16, précisément.
    Alors que des milliers de personnes s’étaient rassemblées pour une autre «Nuit Debout» dans plus de 60 villes de France, François Hollande, lui, posait avec l’ancienne Nounou d’enfer, Fran Drescher, à l’issue d’un dîner.
    Le tweet de l'actrice américaine ne donne cependant pas plus d’explications sur le contexte de la photo, qui en revanche a fait réagir les réseaux sociaux.
    https://francais.rt.com/france/18872-francois-hollande-photo-nounou-denfer

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  • Black-out des médias sur la nuit de terreur à Calais du samedi 9 avril

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    Les Calaisiens ont vécu une des pires nuit de terreur, du samedi 9 au dimanche 10 avril 2016, et les médias français ont trouvé la solution parfaite pour défendre la beauté de l’immigration : faire le black-out total comme si rien ne s’était passé.
     
    « Mes amis ont été attaqués hier soir sur l’aire d’autoroute de la grande Bucaille par une quinzaine de migrants à coups de cailloux et de bâtons !
    Sans raison, tabassage gratuit.
    Mes amis n’ont plus d’argent, plus de voiture, plus aucun papier, ils leurs ont juste laissé un traumatisme crânien et un déplacement de la mâchoire » explique une habitante sur la page Facebook Les Calaisiens en colère.
    Un autre témoin : « Les journaux anglais reprennent nos reportages et les diffusent. les médias français feraient bien d’en faire autant. »
    Vœu pieux.
    Les ordre de Paris sont clairs.
     Pas de reportage, pas de problème de migrants.
    Des gangs de migrants ont attaqué des familles dans leurs voitures, ils ont dressés des barricades et y ont mis le feu pour arrêter les camions qui se rendent en Grande Bretagne et tenter de les prendre d’assaut.Jeudi soir, des affrontements ont éclaté dans la partie hors la loi de la ville, tandis que des bandes déversaient leur violence un peu au hasard sur tout ce qui bougeait.
    Des vidéos – que vous ne verrez pas qux journaux télévisés – ont été publiés sur internet montrant des barricades de pneumatiques en feu au milieu de l’autoroute et près du port destinées à forcer les routiers à s’arrêter pour que les illégaux puissent monter dedans.Autre scène de violence, des routiers ont mis en garde leurs collègues qu’une centaine de migrants armés de barres de fer tentaient des les arrêter.Des employés municipaux sont venus ramasser des branches d’arbres afin de dégager la chaussée. Dans une autre vidéo un important groupe de migrants court vers le port et tente de casser les camions et les voitures qui ont été prises au piège.
     Sur Facebook, le commentaire de Emeline Vetu, une femme furieuse du chaos et de l’indifférence des pouvoirs publics et des médias qui traitent les Calaisiens de fachos et de xénophobes s’ils osent se plaindre, a été partagé plus de 8 000 fois.
    Elle dénonce le chaos de Calais qui est une honte pour la France, et accuse la police de ne pas faire ce qui s’impose pour rétablir l’ordre.Enragée, elle explique: « mes amis ont été attaqués hier sur la route par 15 migrants armés de bâtons et de pierres, sans raison, une attaque purement gratuite. »Le démantèlement de la jungle de Calais, sans solution de rechange efficace et définitive, est largement la cause de cette folie de violence.





     Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
     

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  • Un demandeur d'asile fait condamner la préfecture du Cher

    Photo d'archives - Agence BOURGES

    Saisi d’un référé-liberté, le tribunal administratif d’Orléans a condamné la préfecture du Cher à héberger un demandeur d’asile laissé à la rue.

    C’est une petite victoire, mais pour Gagyk elle n’a pas de prix. Mercredi, le tribunal administratif d’Orléans a fait droit à la requête de ce demandeur d’asile à la nationalité incertaine, en condamnant la préfecture du Cher à lui trouver une place d’hébergement.

    Pour cet homme plus tout jeune, à la santé précaire de surcroît, voilà qui fait toute la différence. Car après avoir séjourné au foyer Saint-François, Gagyk avait dû, faute de place dans les structures d’accueil du Cher, dormir à la belle étoile.

    Quarante-huit heures pour une solution
    Au terme de cette procédure de référé-liberté, la préfecture du Cher dispose de quarante-huit heures pour lui proposer une solution. « Car la loi fait obligation à l’État d’héberger les demandeurs d’asile le temps que leur dossier soit traité », rappelle Christiane Carlut, de la section du Cher du Comité de vigilance pour la défense des droits des étrangers.

    Confronté au même problème, William, un ressortissant de République démocratique du Congo, a lui été débouté par les juges orléanais. Ils ont estimé que, touchant l’aide aux demandeurs d’asile (ADA), William pouvait subvenir à ses besoins.


    « La question qui se pose dès lors, c’est de savoir comment il peut se nourrir, se loger, se vêtir, bref, survivre avec l’ADA, soit 11 euros par jour », résume Christiane Carlut.

    « Personnes vulnérables »
    Mais le comité de vigilance doit se battre sur d’autres fronts. Aujourd’hui, il dénombre – et tente d’aider – sept personnes livrées à elles-mêmes lorsque tombe la nuit sur les rues de Bourges. Christiane Carlut cite notamment le cas d’une femme seule et surtout celui d’une famille kosovare de trois personnes : le père, la mère et un enfant âgé d’à peine plus de deux ans. Et voilà selon elle trois nuits que ça dure.

    « C’est d’autant plus révoltant que M. Bergeron (le directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations, NDLR) assure tout faire pour qu’aucune personne vulnérable ne se retrouve à la rue… Nous, on ne peut malheureusement rien faire d’autre que de leur fournir des couvertures. Mais les voir repartir dans la nuit, je vous jure, ça serre le cœur. »

    Réagissant mardi dans nos colonnes à la situation de Gagyk et de William, Thierry Bergeron, que nous n’avons pas pu joindre hier, avait invoqué le fait que l’obligation de loger les demandeurs d’asile se heurte à un nombre insuffisant de places d’hébergement offertes. « Parfois, la demande est supérieure aux places disponibles », plaidait-il.

    http://www.leberry.fr/


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