• Agressions sexuelles dans le train de Gardaland à Milan, rixe géante à Peschiera del Garda : voici tout ce que l’on sait

    Nous avons déjà parlé brièvement de ces incidents ici :

    Italie : Rixes géantes, coups de couteau, vandalisme, vols… 2.000 jeunes se sont rassemblés via TikTok dans la petite ville de Peschiera et y sèment le chaos

    Italie : 6 jeunes filles de 16 à 17 ans agressées sexuellement dans le train par une trentaine de migrants car elles sont “blanches”

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    Le 2 juin, sur les plages de Castelnuovo et de Peschiera del Garda, des centaines de jeunes sont arrivés de Lombardie pour un rassemblement trap appelé "Africa in Peschiera". Et parmi eux se trouveraient les auteurs du harcèlement dans le train d’un groupe d’amies revenant d'un voyage.

    La Repubblica, 7.06.2022

    Des centaines de vidéos sur les réseaux sociaux et d’images de caméras de surveillance à analyser, des témoignages à recueillir. C'est le travail de titans auquel se livrent les enquêteurs de Vérone et de Milan - chacun pour sa compétence - pour reconstituer ce qui s'est passé le jeudi 2 juin entre Peschiera del Garda, Castelnuovo et Desenzano. Lorsqu'une sorte de rave party organisée sur TikTok a attiré des centaines de jeunes des provinces de Milan, Brescia et Bergame au bord du lac, au milieu de bagarres et de dégradations sauvages, et que le train du retour à Milan s'est transformé pour au moins cinq jeunes filles de 16 et 17 ans revenant de Gardaland en un piège fait de harcèlement sexuel, d'insultes et de peur. Voici ce que nous savons jusqu'à présent de ce qui s'est passé.

    Harcèlement dans le train, le rassemblement convoqué sur TikTok

    Tout a commencé par une vidéo TikTok, qui est rapidement devenue virale : elle s'intitule " L'Afrique à Peschiera del Garda " et invite tout le monde pour le 2 juin, jour de la fête nationale italienne, sur la plage de Campanello-Pioppi entre Castelnuovo et Peschiera del Garda. Un rassemblement au son de la musique trap qui commence presque tranquillement : jusqu'à l'heure du déjeuner, ils sont environ 600 jeunes arrivés de la Lombardie voisine, pour la plupart des Africains de deuxième génération. Dans une lettre adressée au gouvernement, au préfet et au questeur, la maire de Peschiera, Orietta Gaiulli, indique que la première alerte concernant de possibles problèmes d'ordre public a été donnée le 30 mai, en raison de groupes se dirigeant vers la plage gratuite de la commune voisine de Castelnuovo. Une municipalité qui "n'a pas encore réglé ses plages, qui sont le théâtre de ravages et de violences en tous genres".

    Les garçons sont nombreux, mais restent gérables. Jusqu'à ce que, à 13 heures, d'un train arrivant de Milan, au moins 1500 descendent à Peschiera. Ils ont entre 16 et 20 ans, mais il y a aussi de nombreux enfants qui n'ont pas plus de 12 ans. Ils arborent des drapeaux de différents pays africains. Ils crient même au maire de Castelnuovo, qui arrive pour contrôler la situation : "C'est l'Afrique, nous sommes venus conquérir Peschiera". C'est alors que la situation devient incontrôlable.

    Rixe géante à Peschiera del Garda, du vandalisme et l'intervention de la police nationale

    Les vidéos sur les réseaux sociaux de l'après-midi d'émeutes racontent la situation, en effet, hors de contrôle. Certains témoins disent que tout a commencé par une tentative de vol d'un sac. Des bâtons et des couteaux sautent, une méga bagarre commence. Mais ce n'est pas tout : à ce moment-là, des nuées de jeunes envahissent le bord du lac, commencent à importuner les touristes assis dans les bars, cassent les chaises et les tables, brisent les vitrines des magasins. Ils visent le train touristique, montent par dizaines, sans se soucier des personnes qui ont payé le voyage pour profiter de la vue. Ils remplissent les rues, ils sautent sur les voitures. Et le Celere (sections mobiles de la police d’État) arrive en tenue anti-émeute sur la plage de Castelnuovo : des bouteilles sont lancées, une pierre est jetée, les policiers font quelques charges éclair.

    Harcèlement dans le train de jeunes filles montées à Peschiera en revenant de Gardaland

    Vers 17 heures, le torrent de garçons décide qu'il est temps de quitter le camp. Et ils se déversent tous à la gare de Peschiera pour rentrer chez eux. Il y en a des centaines, ils sont assis partout, occupant les voies. Certains tentent de monter dans un train Frecciarossa, qui est bloqué pendant une dizaine de minutes, mais qui repart ensuite. C'est ici que la méga bagarre de Peschiera rejoint le harcèlement de cinq filles. Au moins cinq : car il n'est pas exclu que d'autres victimes se manifestent, après que les premières ont dénoncé à la police ferroviaire ce qui s'est passé.

    Trois amies, toutes de la région milanaise, ont passé la journée au parc d’attractions de Gardaland et attendent maintenant le train pour rentrer chez elles. Elles sont à la gare lorsque les participants à la réunion arrivent. Elles ont peur, elles sont rejointes par deux autres filles de la province de Pavie, également âgées de 16 à 17 ans, et elles décident de rester ensemble dans ce qui est désormais une véritable pagaille. Le train arrive, c'est le régional 2640 de Vérone à Milan : là aussi, les photos sur les médias sociaux montrent la masse de personnes qui se pressent pour monter. Ils sont des centaines devant les portes, certains hurlant "Pas de blancs dans ce train". Les filles montent, espérant peut-être que la situation à bord sera meilleure. Mais ce n'est pas le cas. Le train est bondé, il fait chaud, certaines personnes fument, les filles commencent à se sentir mal, elles essaient de se déplacer mais le flot de personnes, y compris des jeunes filles noires, les en empêche.

    Filles molestées dans le train, un des parents : "Pourquoi personne n'est intervenu ?"

    Une des filles est en contact quasi permanent avec son père : elle l'appelle plusieurs fois, mais cache le téléphone chaque fois qu'un des garçons la regarde, de peur qu’on le lui vole. Le père de la jeune fille a raconté au journal Il Giorno que lorsqu'il est allé la chercher à la gare de Desenzano, "elle était tellement agitée que sa main tremblait, au point de ne pas pouvoir tenir la boisson qu'elle buvait. Elle est en train de se remettre, mais la pensée est toujours là."L'homme explique que cet après-midi-là, lorsque sa fille a commencé à l'appeler de la gare, puis du train, il lui a conseillé de rester avec ses amies et de chercher le conducteur du train, mais entre-temps, il a pris des mesures lui-même : "J'ai cherché sur Internet le numéro du commissariat de Peschiera del Garda, personne n'a répondu. Puis j'ai appelé le 112. J'ai été transféré aux carabiniers de la gare locale, qui m'ont dit que l'affaire relevait de la police ferroviaire et qu'ils en informeraient leurs collègues. À ce moment-là, je suis monté dans ma voiture pour me rendre à Desenzano, le prochain arrêt."

    Harcèlement dans le train de Gardaland, double enquête à Vérone et à Milan

    La question posée par cet homme est la même que beaucoup se posent en ce moment : pourquoi a-t-on laisser partir le train dans ces conditions ? Des forces de police étaient déployées sur la plage, et il y a également eu des moments de tension et de petites charges. Surtout, à la gare de Peschiera, la situation hors de contrôle était déjà claire lorsque des centaines de Lombards sont arrivés en début d'après-midi. Dans ce train, raconte le père de la jeune fille, un seul autre garçon est intervenu pour les aider à descendre à l'arrêt de Desenzano, déplaçant un groupe de perturbateurs qui bloquaient les portes. "C'est un étranger lui aussi, peut-être du Maroc. C'est grâce à lui que ma fille et les autres ont pu s'échapper."Les enquêtes ont déjà permis d'identifier une trentaine de garçons qui pourraient être responsables du harcèlement : le recoupement des témoignages des filles, qui ont décrit des vêtements et des signes particuliers, avec les images des caméras est crucial.

    Il n'y a pas encore de suspects officiels, mais la "machine" à identifier les auteurs est déjà en marche. Bagarres aggravées, dégradations, tentatives de vol : tels sont les chefs d'accusation qui se profilent pour les émeutes sur les rives du lac de Garde et sur lesquels Vérone enquête. Alors que pour les événements survenus dans le train, les autorités judiciaires de Milan penchent pour des accusations de harcèlement.

    Des filles harcelées dans le train, Salvini, Zaia : "Abaisser l'âge de la responsabilitépénale"

    Le fait divers débouche sur une controverse politique. "Ce n'est pas parce que tu es un enfant d'immigrés de 15 ans que tu as le droit de déconner plus qu'un d'autre", a écrit Matteo Salvini en revenant sur la maxi-rixe . "Ce sont des baby gangs étrangers, je me fiche qu'ils soient de la première, de la deuxième ou de la treizième génération", a-t-il ajouté, proposant que pour certains crimes l'âge d'inculpation soit abaissé. "Ils savent qu'ils ne risquent rien parce qu'ils sont mineurs. En particulier pour certains crimes, je pense qu'il est nécessaire d'abaisser le seuil de punissabilité", a-t-il résumé, ajoutant que pour eux "même une petite année de conscription ferait pas de mal".

    Le président de la région de Vénétie, Luca Zaia de la Lega Nord, ne mâche pas non plus ses mots. "Il s'agit d'une dévastation, d'actes criminels qui doivent être punis sans réserve", a-t-il déclaré à TGR 24. "Il n’y a aucune justification possible", a-t-il ajouté. Il abonde dans le sens de Salvini : "Nous devons abaisser l'âge seuil pour être punissable" et sortir de l'idée que l'Italie est "devenue le pays de cogagne de l'impunité".

    Source : Molestie sul treno da Gardaland a Milano e maxi rissa a Peschiera del Garda: ecco tutto quello che sappiamo- La Repubblica

     

    Traduction : Cenator


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  • Quand De Gaulle disait "je vous ai compris"Par Pieds Noirs 9A..

    Quand De Gaulle disait "je vous ai compris" Il s'adressait au FLN. Et non aux Français d'Algérie . 

     

    Quinze mois après le discours d'Alger, l'annonce de l'autodétermination fait l'effet d'une trahison pour les pieds-noirs.

    Je vous ai compris" - YouTube

    La plus fameuse formule politique du XXe siècle n'était pas si ambiguë qu'on l'a dit. Mais elle dissimulait un double jeu. Qu'on le veuille ou non de Gaulle a trahi tous les Français, hommes, femmes, enfants, massacrés par le FLN. Il est d'ailleurs amusant de voir qu'ils sont maintenant plus de 10 millions chez nous pour vivre des allocs. 

    Et nous avons la preuve ;

    CAF, RSA... ils touchent 80.000 euros d'aides sociales alors qu'ils vivent en Algérie

    Pendant six ans, une famille résidant en Algérie a touché le revenu de solidarité active (RSA) et des aides de la caisse d'allocations familiales (CAF). Ils ont accumulé plus de 80.000 euros.

    Une famille qui réside en Algérie a perçu, sans y avoir droit, 80.000 euros pendant six ans, soit environ 1.110 euros par mois. Elle touchait le revenu de solidarité active (RSA) et des aides de la caisse d'allocations familiales (CAF), rapporte le Dauphiné Libéré. le mardi 15 février 2022 , le tribunal judiciaire d'Avignon a jugé un couple à l'origine de cette fraude considérable aux prestations sociales. Ces derniers ont quatre enfants. Le père se déplaçait régulièrement à Avignon et faisait des allers-retours entre la France et le Maghreb. 

    Comme le précise le journal, dans ce genre d'affaire, les poursuites pénales sont rarement envisagées. Cependant, un échéancier de remboursement a été mis en place.

    Ils crachent sur la France mais ?;

    Au Maghreb, ces morts qui continuent à toucher leur retraite Française .

    Ah l’Algérie ! Ses palmiers, son désert, ses vieillards immortels…

    Avez-vous entendu courir la rumeur ? Notre grand voisin du sud serait devenu le repaire de milliers d’éternels retraités, dont la famille ne déclarerait jamais le décès afin de continuer de percevoir les pensions venues de France, ce colonisateur de colons aux fouets !.

    Ce trafic éhonté, sur lequel notre administration n’aurait guère de prise, durerait depuis des années et coûterait tous les ans des centaines de millions d’euros à notre système de protection sociale. Dans les cercles parisiens, rares sont ceux qui osent l’évoquer, de peur d’être accusés de véhiculer une grossière "fake new" teintée de racisme.

    Eh bien renseignements pris, l’information est tout à fait exacte. C’est Rolande Ruellan, l’ancienne présidente de la 6e chambre de la Cour des comptes, qui, la première, a débusqué cette étrange entourloupe début 2010.

    Vive Di Goulle 

    Regardez votre France aujourd'hui !

    Pieds Noirs 9A..


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  • ATTENTION! C’EST AFFOLANT ! Le Docteur Ryan Cole dénonce de nombreux effets secondaires graves comme des CANCERS ÉTRANGES chez des jeunes patients VACCINÉS anti-Covid !

     

     planetes360 
     
    MÉDECINS !! Vous ne pouvez plus vous taire !!! Vous êtes complices du plus grand crime contre l'humanité !!!
     Vous devez tous témoigner comme le Dr Ryan Cole : Les cas de cancer,surtout chez les jeunes, explosent dans le monde entier après le vaccin covid19. 

     

     


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  • Le Nicktamère (Le Boucaque)

    Revue Éléments - Biopolitique du coronavirus (13). Au bon plaisir de  l'immigration : nique ta mère et rodéos sauvages

    LES ORIGINES

    Nicktamère (boucaque) -Croisement entre mains palmées et le macaque, mais toujours d’origine douteuse.

    GÉNERALITES

    Le Niktamère est un animal en voie de disparition dans son pays d’origine (Afrique du Nord, Maghreb). Par contre, il se reproduit à la vitesse de la lumière en milieu urbain et particulièrement dans les grandes villes d’Europe, dont ils trouvent leurs ravitaillements a l'oeil sur le dos de l'innocent .

    La femelle peut mettre bas entre 10 à 15 petit Niktamère dans sa vie. En général ils se regroupent dans des réserves naturelles (banlieues, zone sensible) toujours avec un distributeur de billets gratuit à proximité (la C.A.F.) autrement dit la « caisse à fric ». Ils vivent agglutinés par dizaines dans des cases empilées les unes sur les autres (HLM).

    Nique ta mère - song by Paage | Spotify

    MODE DE VIE

    Le Niktamère ne sort que la nuit (pour les sujets les plus jeunes), et se déplace généralement par petits troupeaux de 5 ou 6 spécimens appelés aussi « branleurs ».

    Le Niktamère isolé est un animal peureux et craintif, il fuit devant tout être humain de bonne constitution, toutefois il s’attaque aux femmes seules et aux personnes âgées, ainsi qu’aux enfants à la sortie des écoles. Les plus vieux s’agglutinent durant la journée aux points de survie (cafés PMU, Assedic, CPAS etc.)

    MOYENS DE TRANSPORT

    Principalement en bus (sans ticket), Voiture volée, mobylette à petit guidon (plus facile pour conduire avec des menottes), fourgon de police avec escorte (celui-ci en dernier recours).

    IDENTIFICATION

    Le Niktamère est facilement reconnaissable.
    Très bon sprinter.
    Très bon magicien (des objets divers sautent dans leurs poches lorsqu’ils passent dans certains rayons de magasin et rame de Metro ), ceci sans qu’eux-mêmes en soient conscients. D’où leur surprise lorsqu’ils se font attraper ! « j’ai rien fait M’sieur » ou « Kwa, Kwa, Kwa » en crachant leurs glaires autour d’eux ! ,c'est pas moi Msiou juge c'est l'autre .

    Les poils du haut du corps sont généralement noirs et crépus.
    Les pattes avant sont cagneuses. Leur teint est mât.
    Les vêtements sont usés aux coudes et aux postérieurs, c’est-à-dire aux endroits où le Niktamère s’appuie habituellement pour réfléchir .
    Il répond habituellement au nom de Mohamed, Mouloud, Abdel, Kader, mais aussi Aziz et Rachid.


    Ses cris sont : « Nique ta mère », « Nique la police », « Nique la société », « Nique la France », « On va vous envahir », langage peut évolué, voire primitif.

    Espèce encore protégée par l’État il est donc inutile pour le moment de les déloger (encore trop facile à attraper !). Il faut donc encore laisser l’espèce évoluer quelques années avant d’ouvrir la chasse, en espérant qu’elle s’ouvre avant que nous ne soyons plus en mesure de chasser.


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